L’augmentation du volume des urines limite l’adhésion des bactéries aux parois des voies urinaires en maintenant un flux quasi constant d’urine. Pour cette raison, des plantes diurétiques sont parfois proposées en complément du traitement médicamenteux en association avec une ingestion liquidienne suffisante (plus de deux litres par jour). L’activité diurétique de l’orthosiphon (thé de Java), du pissenlit, des baies de genévrier, de la prêle, de l’ortie ou du solidage est parfois confirmée chez l’animal mais aucune étude clinique ne montre leur efficacité chez l’homme.
Usage de la phytothérapie
Publié le 15/02/2022
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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