Le fait que l’endométriose touchait plus les femmes européennes ou érudites a souvent été évoqué. La seule explication valable est qu’elles ont en réalité davantage accès à des consultations médicales et peuvent donc être diagnostiquées. Potentiellement, toutes les femmes réglées peuvent être atteintes. Plusieurs facteurs de risque ont depuis été définis. Tout d’abord les antécédents familiaux : le risque de développer une endométriose est accru chez les apparentées du premier degré. Ensuite, l’obésité et certaines caractéristiques du cycle menstruel augmentent les risques : des cycles courts, des règles longues ou encore une puberté précoce. Enfin, les nulligestes sont plus à risque, sans doute en raison d’un effet protecteur de la grossesse.
Les facteurs de risque
Publié le 05/05/2020
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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