Réactions aiguës.
L’usage de cannabinoïdes peut induire des troubles psychiques et mnésiques Une faible réduction de l’activité psychomotrice peut être observée jusqu’à 24 heures après l’administration de THC. Son également décrits : sécheresse de la bouche, myorelaxation, tachycardie, hypotension orthostatique avec vertiges, céphalées. Ces effets cèdent rapidement à la poursuite du traitement. Étant dose-dépendants, il est conseillé d’augmenter progressivement la posologie.
Usage chronique.
Le développement d’une tolérance est décrit pour les effets psychiques et psychomoteurs, les effets cardiocirculatoires et hormonaux. L’usage médical du cannabis ou de dérivés ne risque pas plus d’induire de dépendance que celui d’un opioïde. Les symptômes de sevrage (nervosité, salivation, troubles digestifs, anxiété, etc.) n’ont pas été décrits chez les patients traités à long terme lorsque le traitement est interrompu. Par précaution, l’arrêt doit être progressif. L’apparition de signes d’allure psychotique pourrait éventuellement être observée chez des sujets vulnérables à l’action psychoactive du THC.
Article précédent
Usage thérapeutique de la plante
Article suivant
Une plante médicinale connue de longue date
Usage thérapeutique de la plante
Une iatrogénie réduite
Une plante médicinale connue de longue date
Un potentiel thérapeutique diversifié
Les mots du client
Le contexte médical
Une action pharmacologique élucidée
Autour de l’ordonnance
Diabète de type 2 : recommandations actualisées pour une offre thérapeutique étoffée
Formation
L’IGAS propose de remplacer l’obligation de DPC par…
Une enquête de l’ANEPF
Formation initiale : le cursus pharmaceutique doit-il évoluer ?
Rémunération
ROSP qualité : plus que deux semaines pour s’autoévaluer !