À l’échelle mondiale, la prévalence des céphalées (douleur symptomatique au moins une fois au cours de l’année écoulée) est d’environ 50 % ; 1,7 à 4 % de la population adulte est affectée par des céphalées durant au moins 15 jours par mois.
Il en existe de nombreux types : certaines sont avant tout primitives (ex : migraine, céphalées de tension, algies vasculaires de la face, mais aussi céphalées liées à la toux ou céphalées hypniques, etc.) et certaines secondaires, constituant un symptôme associé - ou susceptible de l’être - à diverses pathologies (ex : hypertension intracrânienne, hémorragie sous-arachnoïdienne, syndrome méningé, sinusite, céphalées post-traumatiques, céphalées par insuffisance respiratoire, maladie de Horton, infections virales diverses, somatisation de troubles mentaux, etc.) voire iatrogènes (ex : céphalée par surconsommation de médicaments).
Choix est fait ici de n’évoquer que trois des céphalées primaires essentielles et un exemple de céphalée secondaire : celle induite par un abus médicamenteux. Elles ont un coût considérable pour la société, principalement à cause de la perte d’heures de travail et de la baisse de la productivité.
Éléments d’épidémiologie
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Publié le 17/05/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3265
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