Une distinction fondamentale doit être réalisée entre les douleurs aiguës et les douleurs chroniques (évoluant depuis plus de 3 mois), pas toujours aisée à faire en pratique.Différentes formes de douleurs peuvent en outre être distinguées selon les mécanismes physiologiques en jeu :- Les douleurs inflammatoires,qui recouvrent toutes les douleurs associées aux phénomènes d’inflammation (il s’agit souvent de douleurs articulaires),- Les douleurs neuropathiques, associées à des atteintes du système nerveux central (composé du cerveau et de la moelle épinière) et périphérique (lésion de la moelle épinière, du nerf sciatique…),- Les douleurs mixtes, qui associent une composante inflammatoire et une composante neuropathique, comme dans les lombo-sciatiques. Ces douleurs sont également souvent rencontrées dans le cadre de cancers ou après une chirurgie.Deux règles sont impératives : adapter la puissance du traitement à l’intensité de la douleurEt n’associer que des produits de mécanismes d’action différents. On peut y ajouter la nécessité de surveiller avec attention l’évolution de l’état physiologique du patient chronique, notamment en ce qui concerne sa fonction rénale.Nouveau : la commercialisation de la méthadone (voie orale) dans l’indication du traitement de fond des douleurs d’origine cancéreuse d’intensité modérée à sévère.
Dans quelles situations cliniques
Publié le 02/10/2020
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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