Rappelons que l’absorption digestive (et/ou la vitesse de résorption) des médicaments peut varier en fonction d’une modification du pH gastrique ou duodénal ou de la prise concomitante d’un adsorbant, d’un chélateur ou encore d’un produit modifiant la motilité gastrique (augmentation de la motilité par le métoclopramide, ralentissement de la vidange gastrique par les anticholinergiques). L’induction/inhibition enzymatique au sein du métabolisme hépatique, joue également un rôle important via prioritairement les cytochromes P 450, en se souvenant que l’effet sera différent si le ou les métabolites sont actifs, voire toxiques, ou inactifs (et que, pour se manifester de manière significative, l’induction enzymatique demande un délai de l’ordre d’une semaine, contre seulement quelques heures en ce qui concerne l’inhibition).
Les interactions médicamenteuses
Publié le 07/05/2020
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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