Le diagnostic est essentiellement épidémio-clinique. En pratique, il est difficile de différencier la « vraie » grippe (due au virus de la grippe) de la « faus-se » grippe, ou syndromes pseudo-grippaux, présentant des signes approchants mais due à un autre agent infectieux.
Le diagnostic est posé face à des signes très évocateurs en période de circulation du virus. Des réseaux de surveillance épidémique (GROG, réseau sentinelles de l’INSERM...) informent régulièrement sur le contexte épidémiologique et les virus respiratoires en circulation. Des examens complémentaires sont inutiles en routine et sont réservés à des cas particuliers, ou dans un cadre de suivi épidémiologique (prélèvements rhinopharyngés, confirmation virologique en laboratoire, dosage sérique des anticorps).
Les tests diagnostics virologiques « au lit du malade » ont une sensibilité médiocre, la proportion de faux négatifs est importante.
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