Dans quelles situations cliniques ?

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Publié le 07/05/2015
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Les IPDE5, pris à la demande (à l’exception du vardénafil qui peut être pris en continu à faible dose) représentent (sauf en cas de contre-indication) le traitement de première intention de la dysfonction érectile (efficacité moyenne de l’ordre de 75 à 80 %), tandis que les inducteurs de l’érection trouvent leur emploi en cas de réponse insuffisante ou de contre-indication aux premiers.

Les injections intracaverneuses (qui sont très efficaces) présentent aussi l’avantage d’être remboursables dans certaines indications : paraplégie, tétraplégie, traumatisme du bassin avec troubles urinaires, séquelles de chirurgie (anévrisme de l’aorte, prostatectomie radicale, cystectomie totale, exérèse colorectale) ou de radiothérapie abdomino-pelvienne, séquelles de priapisme, neuropathie diabétique, sclérose en plaques.


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3177