Les domaines d’applications sont très nombreux. Sans viser à l’exhaustivité, on peut citer la désinfection cutanée, les infections superficielles (virales, bactériennes ou fongiques), l’herpès, l’asthme, la BPCO, la douleur, les brûlures, les aphtes buccaux, l’acné, les pathologies oculaires (glaucome…), les manifestations allergiques (allergie cutanée, oculaire, nasale…), la cicatrisation des plaies, la sécheresse cutanée, certaines pathologies proctologiques, le prurit, les parasitoses externes, la constipation, certaines pathologies cutanées chroniques (psoriasis, dermatite atopique…), certaines pathologies oesophago-gastro-intestinales, certains cancers cutanés (kératoses préépithéliomateuses, maladie de Bowen ou carcinomes intraépidermiques, sarcome de Kaposi), certaines pathologies ORL (gorge, nez) ou stomatologiques (cavité buccale), certaines pathologies articulaires ou musculaires. Citons encore les agents photosensibilisants (kératoses actiniques, carcinome basocellulaire superficiel, maladie de Bowen), l’anesthésie de la peau…
Dans quelles situations cliniques ?
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Publié le 05/10/2017
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3377
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