Selon Jérôme de Mautort, le module externe proposé par Almerys entre en contact avec le système informatique de l’officine pour interroger les droits des assurés lorsqu’il s’agit d’un médicament remboursé.
« Une fois la part mutuelle certifiée, le système Almerys répond en indiquant le taux de prise en charge, ce qui garantit le paiement absolu, le taux de rejet étant de 0,2 voire 0,1 % », détaille le directeur du développement d’Almerys.
En ce qui concerne les médicaments non remboursés, le dispositif va d’abord « désanonymiser » le flux afin de pouvoir vérifier si le médicament est bien pris en charge par la complémentaire, dans le cadre d’un panier de soins par exemple.
« La cotation est envoyée au pharmacien et le flux est immédiatement réanonymisé à notre niveau », assure Jérôme de Mautort. « Seules sont conservées chez nous, les données concernant l’âge du patient et son département d’habitation, et ce à des fins statistiques », garantit-il.
Comment fonctionne l’interface d’Almerys ?
Publié le 18/02/2016
- 1 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
M. B.
- 1 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3241
Exercice professionnel
Sérialisation : pourquoi il vaut mieux contacter son LGO pour vérifier sa conformité
Assurance-maladie
Gestion des indus : 81 sanctions en 2024
Exercice professionnel
Pas de tiers payant sans carte Vitale pour certains médicaments : la mesure entre bien en application
Maillage officinal
Antennes de pharmacie : un titulaire du Tarn sauve une officine de l’Aveyron