La stratégie du gouvernement en vigueur depuis le 15 septembre marque des points puisque les deux tiers des soignants suspendus sont maintenant vaccinés. À l’origine de ce chiffre, Olivier Véran, ministre de la Santé, précise que « le taux de suspension et de démission est extrêmement faible ».
Le 20 octobre, 7 930 soignants étaient suspendus en France. Un nombre infime ramené aux quelque 2,7 millions de salariés des hôpitaux, cliniques et maisons de retraite, de soignants libéraux, d’aides à domicile, de pompiers et d’ambulanciers qui doivent attester d'un schéma vaccinal complet, sous peine de suspension de leur contrat de travail, sans rémunération.
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