L’examen clinique est primordial dans un premier temps : atteintes unilatérales ou bilatérales, symétriques, types de douleurs, circonstances d’apparition, dérouillage matinal, notion de poussées, de handicap, existe-t-il des nodosités, un gonflement des articulations…La recherche de facteurs de risque et d’éventuelles comorbidités est également nécessaire.L’imagerie est un temps fort et incontournable : radiographie simple, scanner, IRM, échographie articulaire.Enfin, les examens biologiques viennent compléter une première approche. Selon le cas de figure : vitesse de sédimentation, calcémie, calciurie, PTH (parathormone), phosphatémie, phosphatases acides ou alcalines, créatinine, vitamine D, CRP (protéine C réactive), facteur rhumatoïde, anticorps anti-peptides citrullinés (anti-CCP), anticorps antinucléaires, facteur rhumatoïde (anticorps IgM anti-IgG), typage HLA B27…L’utilisation de scores permettant de déterminer le degré d’activité de la maladie peut être très utile ; comme par exemple le DAS 28 (décompte des articulations douloureuses sur 28 sites).
Chez le médecin
Publié le 25/05/2023
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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