Pilules de 3e et 4e générations

Affaire classée… ou presque

Publié le 21/09/2017
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Le parquet de Paris vient de classer l’enquête sur certaines pilules contraceptives de 3e et 4e générations, accusées de favoriser de graves pathologies veineuses et artérielles. Depuis 2012, 130 plaintes avaient été déposées, visant 29 marques de pilules, huit laboratoires ainsi que l’Agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM). Le parquet a conclu que l'enquête ne permettait pas d'établir avec certitude l'existence d'un lien de causalité entre la prise du contraceptif et les pathologies présentées par les plaignantes. Néanmoins, le combat judiciaire n’est pas terminé : trois femmes vont déposer de nouvelles plaintes avec constitution de partie civile visant des laboratoires et l'ANSM.


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3373