Alors que l’oxycodone (Oxycontin, Oxynorm, Oxynormoro) vient d’être inscrite au répertoire des génériques, l’ANSM rappelle aux professionnels de santé que cette molécule est un antalgique de palier III comme le sont la morphine et le fentanyl, et qu’elle présente, à ce titre, un risque d’abus et de pharmacodépendance similaire. « Ce risque doit être pris en compte lors de l’instauration du traitement, et nécessite une surveillance étroite pendant le traitement », indique l’ANSM. Toutefois, l’agence reste rassurante : alors que les abus et les usages détournés sont problématiques et fréquents aux États-Unis, ces problèmes sont limités en France en raison de l’encadrement de ses conditions de prescription (ordonnance sécurisée) et de délivrance (limitée à 28 jours) sans que l’accès au traitement soit réduit.
Pour rappel, l’oxycodone est réservée aux traitements des seules douleurs sévères qui ne peuvent être correctement traitées que par des analgésiques opioïdes forts, en particulier dans les douleurs d’origine cancéreuse.
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