Si le VIH est présent dans tous les fluides biologiques, seuls certains sont tenus comme potentiellement infectants : sperme, sécrétions vaginales, sang peuvent être à l’origine d’une contamination - non la salive ou les larmes.
Transmission sexuelle. La transmission est dans l’immense majorité des cas d’origine sexuelle : dans 60 % des cas hétérosexuelle et dans 40 % homosexuelle.
Transmission par le sang. La contamination associée à un usage de drogue par voie parentérale, devenue rare, représente 2 % des cas, ce qui témoigne du succès de la politique de réduction des risques. La transmission iatrogène (transfusion, greffe) est particulièrement réduite ; les accidents d’exposition au sang (AES) ou à un autre liquide biologique contaminé, fréquents en milieu hospitalier (environ 30 000 déclarations/an), font l’objet de préoccupations sanitaires et justifient généralement l’administration d’un traitement antirétroviral post-exposition prophylactique.
Chez le nouveau-né, le VIH est transmis par la mère porteuse du virus, au dernier trimestre de la grossesse (5 %), lors de l’accouchement (15 %) ou pendant l’allaitement (15 %). La mise en œuvre d’un traitement antirétroviral prophylactique a considérablement réduit le risque de transmission verticale : il est quasiment nul chez une femme traitée dès le début du deuxième trimestre de sa grossesse.
Transmission sexuelle. La transmission est dans l’immense majorité des cas d’origine sexuelle : dans 60 % des cas hétérosexuelle et dans 40 % homosexuelle.
Transmission par le sang. La contamination associée à un usage de drogue par voie parentérale, devenue rare, représente 2 % des cas, ce qui témoigne du succès de la politique de réduction des risques. La transmission iatrogène (transfusion, greffe) est particulièrement réduite ; les accidents d’exposition au sang (AES) ou à un autre liquide biologique contaminé, fréquents en milieu hospitalier (environ 30 000 déclarations/an), font l’objet de préoccupations sanitaires et justifient généralement l’administration d’un traitement antirétroviral post-exposition prophylactique.
Chez le nouveau-né, le VIH est transmis par la mère porteuse du virus, au dernier trimestre de la grossesse (5 %), lors de l’accouchement (15 %) ou pendant l’allaitement (15 %). La mise en œuvre d’un traitement antirétroviral prophylactique a considérablement réduit le risque de transmission verticale : il est quasiment nul chez une femme traitée dès le début du deuxième trimestre de sa grossesse.
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