Le gouvernement a mis 12 propositions et 750 millions d’euros sur la table pour sortir de la crise des urgences qui sévit depuis près de six mois dans l’Hexagone. Cette refonte du dispositif des urgences qui comprend outre la création d’un « service d’accès aux soins » (SAS), plateforme opérationnelle dès l'été 2020, l’admission directe des personnes âgées, un recours accru à la télémédecine et à la médecine de ville ou encore l’élargissement du champ de compétences des personnels soignants, ne suffit cependant pas à calmer la colère des soignants.
À l’instar de la plupart des partis de l’opposition qui dénoncent le manque de moyens mis en œuvre pour résorber la crise, les représentants des grévistes affirment que leurs principales revendications, notamment en ce qui concerne la création de lits et d’emplois supplémentaires, n’ont pas été entendues.
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