Persuadée que le valproate a non seulement des effets néfastes sur les enfants des femmes traitées pendant leur grossesse mais aussi sur les générations suivantes, l’association de défense des victimes de la Dépakine (APESAC) réclame de nouveau qu’une étude transgénérationnelle soit menée par les autorités. Dans l’attente d’un véritable engagement, l’association se félicite de la parution dans « Birth Defects Research » de l’analyse des données recueillies auprès de ses adhérents, notamment par l’épidémiologiste de l’Institut Gustave Roussy, Catherine Hill. Cette étude concerne 187 enfants dont les parents ont été exposés in utero au valproate : 23 % présentent des malformations et 44 % des troubles neurodéveloppementaux. Des données préliminaires qui appellent à de nouvelles études pharmacoépidémiologiques « sur l’héritage épigénétique dû aux médicaments à l’origine de malformations et de troubles développementaux », relèvent les auteurs.
Valproate
L’impact transgénérationnel
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Publié le 10/12/2021
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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