UN CONSEILLER ordinal serait dans le viseur de la justice. Condamné en première instance, celui-ci a fait appel de cette décision. Même si les faits reprochés à l’élu sont antérieurs à son élection et sont totalement étrangers aux activités de l’Ordre des pharmaciens, l’affaire n’est pas du goût de l’instance. Tout en rappelant que « la présomption d’innocence, en pareil cas, bénéficie toujours à la personne concernée », l’Ordre considère en effet « qu’une condamnation pénale, quand bien même était-elle sans lien avec le fonctionnement normal et rigoureux de l’Ordre, et frappée d’appel, est de nature à nuire à l’image de l’Ordre national des pharmaciens et par là même à ses missions ». Par conséquent, l’élu a été instamment invité à se mettre en retrait de ses fonctions jusqu’au prononcé d’une décision de justice définitive. Mais celui-ci refuse de se plier à cette demande, invoquant la présomption d’innocence et les règles gouvernant le fonctionnement de l’institution.
Un élu condamné
Désordre à l’Ordre
Publié le 11/12/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3139
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