Luc Chatel, ministre de l’Éducation, estime que les jeunes français ont « un gros problème avec l’anglais ». Je m’inscris en faux contre ce jugement. Jeunes ou vieux, nous nous exprimons plus souvent en anglais qu’en français. Managers, part-time ou has been, nous sommes tous english speaking. Sur Internet, nous manions l’anglais avec virtuosité. Nous utilisons des software efficaces, nous visitons Google, Yahoo, Facebook, Twitter, LinkedIn et d’ailleurs nos ordinateurs ne nous parlent qu’en anglais, du genre : « Sorry, you made a fatal mistake. Shut down your computer, or else... ». Si nous ne comprenions pas un tel avertissement, nous serions out of business. Les gosses n’expriment plus leur stupéfaction par « Oh, mon Dieu! », mais par « Oh, my God! » et quelquefois, sur leur cell phone, OMG, tout simplement. Pas OMD. Certes, l’anglais nous speede un peu, mais quand nous voulons retourner à une grande valeur française comme la mode, nous allons tous à la fashion week.
HUMEUR
L’anglais pour les nuls
Publié le 07/04/2011
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› RICHARD LISCIA
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2826
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