L’assurance-maladie et l’ANSM ont annoncé le renforcement de la surveillance d’Ozempic (sémaglutide). En raison de ses propriétés sur l'appétit, l’antidiabétique Ozempic fait l’objet d’un usage détourné à des fins amaigrissantes. Ce phénomène mondial porté par les influenceurs sur les réseaux sociaux génère une augmentation de la demande, à l’origine d'une tension d’approvisionnement. En France, le mésusage potentiel est estimé à environ 1 % selon l’Assurance maladie. Deux voies permettent d’obtenir Ozempic pour un usage détourné : une prescription hors AMM, ou une falsification d’ordonnance. Dans ces deux cas, il est demandé aux pharmaciens de refuser la délivrance, et si possible de contacter le médecin prescripteur. Toute ordonnance suspecte doit être déclarée.
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Ordonnances suspectes d’Ozempic : refuser et déclarer
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Publié le 03/03/2023
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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