L’assurance-maladie et l’ANSM ont annoncé le renforcement de la surveillance d’Ozempic (sémaglutide). En raison de ses propriétés sur l'appétit, l’antidiabétique Ozempic fait l’objet d’un usage détourné à des fins amaigrissantes. Ce phénomène mondial porté par les influenceurs sur les réseaux sociaux génère une augmentation de la demande, à l’origine d'une tension d’approvisionnement. En France, le mésusage potentiel est estimé à environ 1 % selon l’Assurance maladie. Deux voies permettent d’obtenir Ozempic pour un usage détourné : une prescription hors AMM, ou une falsification d’ordonnance. Dans ces deux cas, il est demandé aux pharmaciens de refuser la délivrance, et si possible de contacter le médecin prescripteur. Toute ordonnance suspecte doit être déclarée.
À savoir pour bien dispenser
Ordonnances suspectes d’Ozempic : refuser et déclarer
Par
Publié le 03/03/2023
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendupharmacien.fr
Ça vient de sortir
Capvaxive : un nouveau vaccin contre les infections à pneumocoques chez l’adulte
À savoir pour bien dispenser
Un tableau pour sécuriser l’utilisation des traitements préventifs contre le VRS
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Le retour annoncé d’Octim et de Minirin Spray
À savoir pour bien dispenser
Ovitrelle : une présentation en seringue préremplie pour les femmes