C’EST une première : une pharmacie des Deux-Sèvres vient d’être déconventionnée pour un mois. Motif invoqué par l’assurance-maladie : une dispensation insuffisante de génériques. Avertis à la mi-2011 que leur taux de substitution laissait à désirer, les titulaires ne sont pas parvenus à redresser la barre. Résultat, la sanction est tombée en juillet dernier. La CPAM locale justifie sa décision en expliquant que le taux de substitution dans l’officine incriminée « se situe entre 30 et 50 % alors que la majorité de la profession dans le département affiche des taux compris entre 75 et 80 % ». « C’est injuste et de mauvaise foi », rétorque l’un des titulaires qui assure avoir fait son possible, mais se dit confronté à de nombreuses prescriptions portant la mention « non substituable ». Décidés à faire entendre leur bonne foi, les titulaires envisagent de faire appel de la décision devant le Tribunal des affaires sanitaires et sociales.
Substitution insuffisante
Une officine déconventionnée
Publié le 03/09/2012
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2940
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