- 33 % des ruptures de médicaments sont dues à des problèmes de production* (technique, qualité, analyse, recontrôle à l’importation).
- 28 % sont dues à une augmentation des ventes, lorsque les capacités industrielles sont insuffisantes.
- 16 % sont dues aux matières premières ou à l’excipient (production, livraison).
- 8 % sont liées à la disponibilité des articles de conditionnements suite à des modifications.
- 6 % à des ruptures de stock d’un concurrent.
- 3 % aux délais d’approbation des changements de sites de fabrication.
- 2 % à un arrêt de commercialisation (problème de qualité, rappel).
- 1 % est dû à la gestion interne des stocks, 1 % au retrait de certificat de conformité à la pharmacopée et 2 % à d’autres changements.
- 33 % des classes thérapeutiques touchées par les ruptures sont des traitements hormonaux.
- 16 % sont des anticancéreux, 16 % des anti-infectieux et 16 % des médicaments pour le système nerveux central.
- 32 % des ruptures concernent uniquement l’hôpital, et 27 % uniquement la ville. Les 41 % de ruptures restantes concernent à la fois la ville et l’hôpital.
Produits vendus en pharmacie
Antipoux : seulement 27 % des produits réellement efficaces
Arboviroses
Un cas autochtone de chikungunya détecté dans la région Grand Est
Rupture de stock
Une solution de remplacement pour Bi Tildiem LP 120 mg
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi