- De nombreuses situations physiopathologiques peuvent justifier une adaptation de la posologie, ne serait-ce que l’âge du patient. En ne perdant jamais de vue qu’il existe d’importantes variabilités interindividuelles.
- Deux catégories de problématiques doivent être distinguées : les modifications pharmacocinétiques et les modifications pharmacodynamiques.
- La plus fréquente (et significative) des modifications dont il faut tenir compte correspond à l’insuffisance rénale ; qui peut être d’origine soit organique soit fonctionnelle.
- L’adaptation posologique des médicaments à élimination rénale préférentielle tient compte de la clairance à la créatinine du patient ou de son débit de filtration glomérulaire.
- En revanche, l’adaptation posologique en cas d’insuffisance hépatique relève souvent du cas par cas.
- Le pharmacien a un évident rôle à jouer, notamment dans le repérage des sujets à risque et dans la vérification attentive des posologies.
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité