Cela fait plusieurs années que Frédéric van Roekeghem y songeait. Mais cette fois, fini de rigoler, le directeur général de l’assurance-maladie passe à l’action. L’organisme payeur a ainsi décidé de cibler « 500 professionnels qui utilisent de façon décalée par rapport à leurs confrères la mention "NS", pour des molécules pour lesquelles a priori il n’y a pas de matière à le faire ». Les prescripteurs ont parfaitement le droit de porter sur leur ordonnance la mention NS, mais à condition de le faire avec « tact et mesure », avait souligné Frédéric van Roekeghem, à Pharmagora. Les médecins-conseils vont donc contrôler l’activité de ces praticiens et passer au crible leurs prescriptions. Et gare à ceux qui empêchent systématiquement la substitution générique. Des pénalités financières sont en effet prévues. Celles-ci devraient tomber à la fin de l’année. Les intéressés sont prévenus.
Les excès bientôt sanctionnés
Publié le 10/06/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3099
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