• Jean-Marc Merle, PHI (issue de la scission de Pharmaciens sans frontières en 2000) : « Nous sommes liés sentimentalement à PSF-CI. Toutes les ONG sont toujours sur le fil du rasoir quant à leur autonomie financière. La solution est de ne lancer aucune mission tant que le financement n’est pas verrouillé, mais c’est parfois difficile car les subventions octroyées par des structures publiques peuvent mettre des mois à être versées, alors même que la situation est urgente. La disparition de PSF-CI entraîne aussi une perte de crédibilité des autres associations et nous craignons une certaine timidité au niveau des partenariats. »
• Alain de Tonquedec, Ordre de Malte : « Il est vraiment dommage de voir disparaître une association comme PSF-CI, complémentaire de nos activités et avec une véritable expertise professionnelle. Même si ACTED reprend une part de ses activités, ça ne sera plus pareil. »
• Dominique Rouffy, PAH : « Jean-Louis Machuron, président de PAH, et Jean-Jacques Bléas, chargé des enseignements du DU et coordinateur de la mission en Haïti, sont des anciens de Pharmaciens sans frontières. Ils ont créé PAH pour que les bénévoles soient formés à l’humanitaire. Nous sommes navrés par la disparition de PSF-CI, au moment où nous avons besoin de son expertise face aux faux médicaments, aux besoins des populations des pays en voie de développement, pour la gestion des médicaments sur place, pour éviter détournements et malversations, pour garantir la qualité des médicaments et l’accès aux soins. Nous plaçons beaucoup d’espoir dans ACTED. »
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