La grande majorité des groupements développent des outils pour faciliter et sécuriser l’installation du libre accès. Plus encore, ils proposent la centralisation des référencements et des achats, allant jusqu’à l’instauration d’un tronc d’assortiments communs comprenant deux ou trois marques (PHR) ou une centaine de références (Giphar). Ils sont aussi de plus en plus nombreux à développer leurs produits à la marque (MDD) sur le marché de l’automédication. Par ailleurs, ils concluent des partenariats avec d’autres acteurs de santé autour du conseil officinal, non seulement des laboratoires mais aussi des complémentaires santé, comme l’a fait récemment le Collectif des groupements avec Allianz justement sur le conseil et la délivrance dans le cadre de l’automédication. « Certains organismes prévoient dans leurs contrats la prise en charge de médicaments non remboursés par la Sécurité sociale. Le panier de produits varie d’un complémentaire à l’autre », indique l’étude Eurostaf.
Le rôle moteur des groupements
Publié le 30/11/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2707
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité