Le think tank Biosimilaires, créé fin 2017 par des laboratoires pharmaceutiques sous l'égide de l'agence conseil en santé Nile, réaffirme son attachement à la décision médicale partagée dans l'utilisation des biosimilaires. Composé de quatre associations de patients*, trois entreprises du médicament (Accord Healthcare, Amgen, Sandoz) et le groupement de pharmaciens Giphar, il rappelle que la loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) pour 2020 a supprimé le droit de substitution biosimilaire des pharmaciens, mais prévoit la création d'un groupe de travail pour déterminer les conditions de l’interchangeabilité par le médecin et de la substitution par le pharmacien. Le think tank se dit « prêt à travailler dès aujourd'hui avec les services du ministère et tous les acteurs engagés ».
*Association nationale de défense contre l'arthrite rhumatoïde (ANDAR), Association François Aupetit, France lymphome espoir, Ligue française contre la sclérose en plaques (LFSEP)
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité