L'Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) fait le point sur les procédures mises en place pour limiter les ruptures de stock et tension d'approvisionnement, en particulier pour garantir aux patients l'accès aux médicaments d'intérêt thérapeutique majeur (MITM). L'occasion de dévoiler une forte hausse du nombre de signalements de ruptures ou de risques de ruptures de stock, par les acteurs de la chaîne du médicament. Même si les chiffres de 2017 ne sont pas encore consolidés, Patrick Maison, directeur de la surveillance à l'ANSM, note « une relative stabilité les quatre dernières années de l'ordre de 400 signalements par an », suivi d'un bond de plus de 500 signalements en 2017, soit une hausse de 30 %. Les classes thérapeutiques les plus touchées sont, comme l'année précédente, les anti-infectieux généraux, les médicaments du système nerveux et les anticancéreux.
Hausse de 30 % des ruptures de stock
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Publié le 15/02/2018
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3411
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