Dans la description des services que pourraient proposer les officines, les inspecteurs de l’IGAS précisent, pour beaucoup d’entre eux, qu’ils devront faire l’objet d’une prescription médicale préalable. Une position qui semble marquer un retour en arrière par rapport à l’esprit de la loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST). « La mission n’a pas considéré qu’elle devait construire ses propositions en fonction des positions des médecins, expliquent les auteurs du rapport. Elle a toutefois veillé à ce que les propositions formulées ne remettent pas en cause le rôle de coordination des soins du médecin généraliste que le législateur a tenu à inscrire dans la loi ».
Des services sur prescription
Publié le 05/09/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2855
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité