25 % des médicaments prescrits par les médecins ne seraient jamais consommés par les patients, chaque année dans l’Hexagone, selon le 2e observatoire du cabinet de conseil Jalma sur « les enjeux de l’observance en France ». Et cette non-observance des traitements serait à l’origine de 12 000 décès par an, soit 4 fois plus que la mortalité routière. Or, déplore Jalma, « ce sujet n’est pas traité de manière prioritaire par le gouvernement ». Fort des résultats de son observatoire, le cabinet de conseil formule cinq propositions : déployer une campagne nationale de santé publique ; développer le rôle de conseil du pharmacien ; assouplir le cadre réglementaire des industriels du médicament afin qu’ils puissent mettre en œuvre des actions de soutien à l’observance des traitements ; intégrer l’observance parmi les critères de fixation du prix des médicaments ; et enfin, développer des contrats de performance liés à l’observance sur les produits et prestations et santé.
Cinq propositions pour améliorer l’observance
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Publié le 16/02/2015
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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