Au-delà des aspects purement pharmacologiques, les experts de l’ANSM craignent que l’application systématique du principe « tiers payant contre générique » à la délivrance de la buprénorphine, favorise l’augmentation des effets secondaires liés au mésusage. Dans ce contexte, ils tiennent à souligner que ce principe ne s’applique pas à cette molécule, même si certaines caisses ont, un temps, persisté à l’appliquer sans discernement.
Une substitution particulière Abonné
Publié le 16/05/2013
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3007
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