L’AFIPA souhaite que l’achat des médicaments en vente libre (non remboursables et non prescrits) soit encouragé par « un avantage fiscal » pour le patient. Ce soutien « pourrait se faire, par exemple, au moyen d’une déduction de l’impôt sur le revenu », propose l’AFIPA, à l’exemple de pays, comme le Japon ou le Canada, qui envisagent ou ont mis en œuvre des incitations de ce type pour certains biens de santé. Les industriels de l’automédication demandent d’autre part de ramener le taux de TVA à 2,1 % pour leurs produits, pour l’aligner sur celui des médicaments remboursables. Selon l’AFIPA, le relèvement de la TVA sur les médicaments non remboursables de 5,5 % à 10 % en deux ans a provoqué « une augmentation mécanique des prix de 4 % ».
Une automédication déductible des impôts ?
Publié le 22/09/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3116
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