DE PLUS EN PLUS de groupes pharmaceutiques, lassés des ruptures d’approvisionnement sur leurs principes actifs, relocalisent leur production en Europe. Une tendance qui n’a pas échappé à Servier qui, avec Sanofi et Pierre Fabre, fait partie des rares acteurs à ne pas avoir externalisé ce savoir-faire. Touché par la chute de ses ventes et les effets de change sur ses résultats, le laboratoire compte sur l’ouverture de ses usines à la sous-traitance pour renflouer les caisses et éviter une restructuration. D’autant que ses prochains lancements de médicaments innovants ne sont pas prévus avant 2020. Le nouveau dirigeant, Olivier Laureau, indique avoir déjà été contacté par des homologues européens, américains et même chinois, contraints de se soumettre à de nouvelles exigences dans leur propre pays.
Relocalisation
Servier ouvre ses usines à la sous-traitance
Par
Publié le 19/03/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3163
Pharmacie vétérinaire
Antiparasitaires vétérinaires : des accidents mortels chez le chat et le lapin
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Glucagen Kit : une rupture brève
Traitement du diabète de type 2
Les analogues du GLP-1 augmenteraient le risque de fracture
Traitement de l’anémie
NeoRecormon : des tensions voire des ruptures de stock à prévoir