L’enquête sur le vaccin contre l’hépatite B vient de se conclure par un non-lieu, dix-sept ans après le début de l’instruction. La juge a conclu à l’absence de causalité certaine entre la vaccination contre l’hépatite B et l’apparition de maladies neurologiques, écartant aussi la faute d’imprudence ou de négligence des mis en cause.
Les avocats des plaignants estiment cette décision « scandaleuse » et font part de leur volonté de poursuivre en appel. Rappelons que cette affaire a débuté en 1994, avec le lancement d’une grande campagne de vaccination des Français contre l’hépatite B, et l’apparition concomitante de cas de scléroses en plaques et autres maladies neurologiques.
L’enquête ouverte en 1998 avait abouti au recensement d’une soixantaine de victimes, dont neuf décédées, et à la mise en examen de trois anciens responsables des laboratoires Sanofi-Aventis et GlaxoSmithKline.
Procès du vaccin contre l’hépatite B
Non-lieu 17 ans plus tard
Publié le 17/03/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3249
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