1- Rappeler les obligations de service public de chacun des acteurs et mettre en place des contrôles plus systématiques.
2- Identifier des zones de risque : établir une liste de classes thérapeutiques définies comme sensibles, c’est-à-dire présentant un intérêt majeur et à risque de rupture.
3- Demander aux titulaires d’AMM d’instaurer un plan de gestion des pénuries.
4- Mettre en place un circuit d’information rapide facilitant, d’une part, le signalement par les professionnels de santé des ruptures de stock ou difficultés d’approvisionnement, et, d’autre part, le retour d’information vers les prescripteurs et dispensateurs.
5- Anticiper les arrêts de commercialisation, afin de disposer d’une période transitoire suffisante pour la mise en place de mesures alternatives.
Pharmacie vétérinaire
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Ça s’en va et ça revient (ou pas)
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