« Il y a de la bonne volonté, mais c'est parfois mal conçu. » Titulaire dans le 6e arrondissement de Paris, Jean-Claude Cazes pointe les insuffisances du trade marketing. D'abord, sous l'impulsion de laboratoires et de leurs démarches ciblées, certaines officines sont amenées à se spécialiser. Et pour le libre accès, des fabricants fournissent des outils de merchandising pour les seules pathologies qui les concernent… Quant aux formations, Jean-Claude Cazes préfère celles qui se tiennent en soirée ou sur Internet. « En proposer aux heures les plus chargées pour la pharmacie ne sert à rien », rappelle-t-il.
Le regard critique de l'officinal
Publié le 16/03/2009
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2647
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité