« Il y a de la bonne volonté, mais c'est parfois mal conçu. » Titulaire dans le 6e arrondissement de Paris, Jean-Claude Cazes pointe les insuffisances du trade marketing. D'abord, sous l'impulsion de laboratoires et de leurs démarches ciblées, certaines officines sont amenées à se spécialiser. Et pour le libre accès, des fabricants fournissent des outils de merchandising pour les seules pathologies qui les concernent… Quant aux formations, Jean-Claude Cazes préfère celles qui se tiennent en soirée ou sur Internet. « En proposer aux heures les plus chargées pour la pharmacie ne sert à rien », rappelle-t-il.
Le regard critique de l'officinal
Publié le 16/03/2009
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2647
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