MIS EN CAUSE dans le décès de trois bébés à l’hôpital de Chambéry fin 2013, le laboratoire normand Marette doit fermer ses portes pour des raisons économiques, après plus de six mois de suspension d’activité pour les besoins de l’enquête. « En aucun cas, ce n’est une fermeture parce que l’on se sent responsables, indique son directeur, Jean-Luc Marette : le jour de la fabrication des poches alimentaires au laboratoire tous les voyants étaient au vert ; c’est juste un problème économique. On ne fonctionne avec l’ensemble des hôpitaux qu’avec appel d’offres », et pendant six mois, le laboratoire, dont l’activité est gelée, n’a pu y répondre. Depuis le début de l’enquête sur la mort des nourrissons, le laboratoire n’a jamais été mis en cause par la justice, même si les autorités sanitaires avaient, elles, retenu en janvier l’hypothèse d’un « accident de production isolé », mais jusqu’alors sans qu’aucune preuve ait été rendue publique.
Bébés de Chambéry
Le laboratoire Marette ferme
Publié le 15/07/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3109
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