Le retard pris par les laboratoires pharmaceutiques à déclarer à l’Agence fédérale du médicament (FDA), les effets secondaires graves liés à la prise de médicaments, empêche d’éviter un certain nombre de décès. C’est la conclusion émise par une étude de l’Université du Minnesota, publiée dans le « Journal of American Medical Association, Internal Medicine ». Elle relève que sur plus de 1,6 million de cas d’effets secondaires graves étudiés au cours des dix dernières années, 9,94 % dont 40 500 décès, n’ont pas été signalés dans le délai légal de quinze jours. Les dispositions réglementaires prévoient en effet que le laboratoire doit informer la FDA de la survenue d’un effet secondaire grave comme un décès, un handicap, des malformations à la naissance ou de toute autre réaction grave.
Effets indésirables : le silence coupable des labos aux USA
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Publié le 28/07/2015
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Avec AFP
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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