« ALORS QUE la France engage un plan d’économies sans précédent et que plus de 35 % des économies pèsent injustement sur l’industrie pharmaceutique, il n’est plus admissible que l’ensemble des acteurs de la santé ne soient pas impliqués dans la politique du médicament générique », estime le GEMME. Pour l’association, qui réunit la plupart des fabricants de génériques, la sous-utilisation de ces médicaments ne tient ni à leur prix ni à la substitution effectuée par les pharmaciens, mais à la prescription. En particulier, la prescription hors répertoire qui semble s’amplifier. Dans ce contexte, le GEMME demande à la ministre de prendre des mesures structurantes, dans les meilleurs délais. Car aujourd’hui, ce marché, qui est en recul sur le premier trimestre 2014, est encore sous-développé, comparé à nos voisins européens. « Si le médicament générique était utilisé dans les mêmes proportions qu’en l’Allemagne et au Royaume-Uni, 2,4 milliards d’euros supplémentaires seraient économisés chaque année sur les dépenses de médicaments, affirme le GEMME. Cela représente un potentiel d’économies de 5 milliards d’euros par an. »
Génériques
D’autres pistes d’économies
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Publié le 05/05/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3090
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