Les dispositions réglementaires encadrant la substitution d’une spécialité par son hybride sont désormais en place. Deux arrêtés publiés récemment au « Journal officiel » ont finalisé le périmètre de cette intervention du pharmacien et les situations dans lesquelles le prescripteur peut s’y opposer. En théorie, la substitution hybride est applicable pour un ensemble de médicaments pour inhalation destinés à traiter les maladies obstructives des voies respiratoires. En pratique, elle est impraticable tant que le registre des groupes hybrides sur lequel peut s’appuyer le pharmacien (sur le modèle du répertoire des génériques) est vide. Pour rappel, les hybrides représentent une nouvelle catégorie de médicaments, distincte des génériques ou des biosimilaires. Un médicament hybride et son référent sont formulés à partir du même principe actif. Elles diffèrent l’une de l’autre par l’indication, le dosage, la composition en excipients, la forme pharmaceutique ou la voie d’administration.
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Hybrides : pas de substitution sans registre
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Publié le 09/02/2023
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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