Considérons trois affections susceptibles de faire l'objet d'un autotest.
Le VIH (virus de l'immunodéficience humaine) : environ 150 000 Français seraient infectés par le VIH. Parmi eux, 1 personne sur 5 (30 000) ignore sa séropositivité. Le VIH s'attaque au système immunitaire du sujet contaminé, entraînant une chute du taux de lymphocytes T CD4. Sans traitement, l'infection évolue en SIDA (syndrome d'immunodéficience acquise). Le VIH se transmet par voie sexuelle, sanguine ou materno-fœtale. Après la contamination, environ 2 personnes sur 3 présentent une primo-infection, se manifestant par des symptômes pseudo-grippaux. Après cette période de réplication active, le virus entre dans une phase de latence plus ou moins longue.
L'intolérance au gluten : il s'agit de la maladie cœliaque. Le gluten est une protéine présente dans le blé, l'orge et le seigle. Plus précisément, l'intolérance porte sur des fractions protéiques du gluten comme la gliadine. Les malades cœliaques présentent une prédisposition génétique à l'origine d'un dysfonctionnement immunitaire. Chez ces personnes, la gliadine devient toxique et provoque une atrophie villositaire au niveau de l'intestin et un syndrome de malabsorption.
La maladie de Lyme : il s'agit d'une infection causée par la bactérie Borrelia. La borréliose est transmise à l'homme par morsure de tique contaminée. La phase primaire de la maladie se caractérise par une lésion cutanée rouge qui s'étend vers l'extérieur. Elle peut être associée à un syndrome pseudo-grippal. La maladie peut évoluer vers des complications potentiellement graves.
Le VIH (virus de l'immunodéficience humaine) : environ 150 000 Français seraient infectés par le VIH. Parmi eux, 1 personne sur 5 (30 000) ignore sa séropositivité. Le VIH s'attaque au système immunitaire du sujet contaminé, entraînant une chute du taux de lymphocytes T CD4. Sans traitement, l'infection évolue en SIDA (syndrome d'immunodéficience acquise). Le VIH se transmet par voie sexuelle, sanguine ou materno-fœtale. Après la contamination, environ 2 personnes sur 3 présentent une primo-infection, se manifestant par des symptômes pseudo-grippaux. Après cette période de réplication active, le virus entre dans une phase de latence plus ou moins longue.
L'intolérance au gluten : il s'agit de la maladie cœliaque. Le gluten est une protéine présente dans le blé, l'orge et le seigle. Plus précisément, l'intolérance porte sur des fractions protéiques du gluten comme la gliadine. Les malades cœliaques présentent une prédisposition génétique à l'origine d'un dysfonctionnement immunitaire. Chez ces personnes, la gliadine devient toxique et provoque une atrophie villositaire au niveau de l'intestin et un syndrome de malabsorption.
La maladie de Lyme : il s'agit d'une infection causée par la bactérie Borrelia. La borréliose est transmise à l'homme par morsure de tique contaminée. La phase primaire de la maladie se caractérise par une lésion cutanée rouge qui s'étend vers l'extérieur. Elle peut être associée à un syndrome pseudo-grippal. La maladie peut évoluer vers des complications potentiellement graves.
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