Immanquablement, les micro-traumatismes provoqués par le rasage quotidien finissent souvent par donner naissance à des affections cutanées spécifiquement masculines. L’inflammation du follicule pileux ou pseudo-folliculite en fait partie. Elle se produit sous l’effet de la repousse du poil qui s’incarne dans son follicule et provoque l’apparition de papulopustules. L’utilisation de crèmes kératoréductrices permet d’éviter l’incarnation du poil (Dermo-K soin et prévention du poil incarné chez Avène).
Le sycosis de la barbe est un autre genre de folliculite mais infectée cette fois par une bactérie (staphylocoque, streptocoque) ou un champignon (trichophyton rubrum). Un traitement, antibiotique ou antimycosique, sera nécessaire pour endiguer l’infection. Le papillome de la barbe, enfin, se manifeste sous la forme de petites lésions virales qui envahissent le bas de visage.
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité