Une calvitie précoce androgénétique à l’âge de 20 ans doublerait le risque de cancer de la prostate, selon une étude française récemment publiée*. Cette étude rétrospective a été menée auprès de 669 hommes à l’HEGP (Paris), à l’Institut Claudius Regaud (Toulouse) et à l’Institut Curie (Paris). Elle a comparé 388 hommes avec un cancer de la prostate à 281 cas témoins indemnes de cancer qui ont précisé l’âge de survenue de leur alopécie et son degré de sévérité selon l’échelle de Hamilton-Norwood en 4 stades.
Si l’âge d’apparition de la calvitie est apparu très clairement comme un facteur de risque, la sévérité de l’atteinte ne semble pas influencer la survenue du cancer de la prostate. Si ces résultats sont confirmés, un dépistage individuel ciblé du cancer de la prostate pourrait être proposé à cette population d’hommes à risque.
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