
Participez au Grand débat national : « le Quotidien » vous donne la parole
Un oubli de pilule, un préservatif qui glisse ou se déchire, un anneau vaginal mal placé, un patch qui se décolle… Diverses circonstances exposent au risque de grossesse non désirée. La contraception d’urgence orale, délivrée à l’officine sans prescription depuis 1999, vient répondre à cette situation. Lors de sa délivrance, le pharmacien doit rester neutre, professionnel, explicatif et disponible.
1 - Répondre à la demande
Lorsqu’une personne vient demander au pharmacien une contraception d’urgence, il est préférable d’aller tout de suite chercher le médicament, ce qui aura pour effet de rassurer la patiente. On délivrera la contraception d’urgence même si c’est le compagnon ou un ami de la patiente qui vient la chercher : rien n’interdit la délivrance à un tiers. Sans ordonnance, la contraception d’urgence fera l’objet d’un règlement (6,34 euros pour NorLevo et...
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À l’occasion du Grand débat national, nehs et le Groupe profession santé (GPS) réunissant « le Quotidien du pharmacien », « le Quotidien du médecin », « le Généraliste », « infirmiers.com », s’associent pour lancer une grande enqu... Commenter
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