Le coût sanitaire direct et indirect de l'exposition aux perturbateurs endocriniens pourrait s'élever à plus de 340 milliards de dollars (près de 309 milliards d'euros) par an, soit 2,33 % du PIB des États-Unis, selon une étude américaine publiée dans « The Lancet Diabetes & Endocrinology ».
Les auteurs ont comparé ce coût à celui de l'Europe, évalué en 2015 à 217 milliards de dollars (197 milliards d'euros), soit 1,28 % du PIB de l'Union européenne.
La différence de coût entre les deux continents s'expliquerait par une réglementation moins stricte, aux États-Unis, sur les polybromodiphényléthers (PBDE), des substances ignifuges utilisées notamment dans les meubles et les emballages.
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