1. Une BPCO évoluée se traduit :
a) par de l’emphysème ;
b) par une fibrose pulmonaire ;
c) par des hémorragies pulmonaires.
2. Le diagnostic de base d’une BPCO repose sur :
a) la pléthysmographie ;
b) la spirométrie ;
c) la radiographie.
3. L’indacatérol (Onbrez, Oslif) est un bêta2-sympathomimétique bronchodilatateur :
a) agissant dans les toutes premières minutes suivant l’inhalation ;
b) actif sur le nycthémère après une prise unique ;
c) administré par voie orale.
4. Les anticholinergiques prescrits dans le traitement de la BPCO sont :
a) au maximum actifs sur une période de deux à trois heures ;
b) tous indiqués dans le traitement des exacerbations de cette affection ;
c) prescrits avec prudence en cas d’hypertension artérielle.
5. La prescription d’un antitussif est pertinente chez le patient atteint de BPCO :
a) oui, elle est recommandée ;
b) non, elle n’est pas recommandée ;
c) elle est contre-indiquée.
Réponses : 1. a) et b) ; 2. b) ; 3. a) et b) ; 4. aucune réponse n’est bonne ; 5. b).
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