À retenir

Publié le 08/09/2011
Article réservé aux abonnés

- L’augmentation de l’incidence des infections fongiques invasives est liée au développement de nouvelles techniques chirurgicales, nouveaux et puissants immunosuppresseurs, nouveaux protocoles de prophylaxie anti-infectieuses et amélioration de la survie de patients maintenus sous immunosuppression prolongée ou recevant une thérapie antitumorale myélosuppressive induisant une neutropénie sévère (en dessous de 500/mm3 pendant plus de 10 jours).

- Il faut aussi penser au rôle des biothérapies (anti-TNF alpha et autres anticorps monoclonaux), de plus en plus utilisées.

- La plupart des champignons responsables sont des saprophytes, des commensaux ou sont présents dans l’environnement.

- Les antifongiques peuvent être utilisés, selon le cas, en prévention, en traitement probabiliste ou sur un diagnostic étiologique précis.

- Tous les antifongiques systémiques, sauf les échinocandines, exigent une étroite surveillance rénale.


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2856