• Pour l’heure, l’AFSSAPS envisage le retrait des spécialités à base de dextropropoxyphène un an après la décision de la Commission européenne.
• L’Agence française du médicament étudie la possibilité de pouvoir autoriser un accès encadré à la prescription, pour les patients chez qui les autres antalgiques de niveau I et/ou II sont contre-indiqués, déconseillés ou pour lesquels il existe un échappement thérapeutique.
• En attendant, elle recommande aux professionnels de santé de ne plus prescrire de médicaments contenant du dextropropoxyphène à de nouveaux malades et invite les patients à contacter leur médecin, sans urgence, afin que celui-ci puisse reconsidérer leur traitement.
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