- La photothérapie par les UV augmente les concentrations sériques de 25 (OH)D mais sans caractérisation de la dose d’UV ni de la fréquence de traitement requises pour une réponse donnée, ni de l’effet de la pigmentation cutanée (les peaux très pigmentées étant associées une diminution de synthèse).
- Les lampes UV ont un taux indétectable d’UVB, et dans les solariums il y a des UVA qui ont un risque prouvé de cancer cutané. Ces méthodes ne sont pas un bon moyen de compenser un déficit.
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