Sans surprise, l’Assemblée nationale a écarté une proposition de loi UMP visant à mieux diagnostiquer, soigner et prévenir la maladie de Lyme. Ce texte avait déjà été rejeté en commission le 28 janvier. Les députés de la majorité partagent les objectifs présentés, mais estiment que les dispositifs actuels sont suffisants et qu’une loi n’est pas le meilleur outil pour aborder ce sujet. Ils ont cependant interpellé le gouvernement pour la mise en place d’actions concrètes, notamment à travers la future loi de santé. Le gouvernement s’est engagé à « saisir les acteurs de la recherche avant l’été » sur cette pathologie infectieuse due aux tiques. Il souhaite faire « réaliser des études cliniques, épidémiologiques et sociologiques » et débute une réflexion « pour renforcer les outils de communication auprès de la population et des professionnels de santé (…) et pour évaluer les performances des tests de dépistage commercialisés ». Des actions sont déjà en cours et d’autres seront engagées à la suite des recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP) publiées l’an dernier.
Maladie de Lyme : le gouvernement s’engage
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Publié le 06/02/2015
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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